Cohérence

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samedi, 7 janvier 2017

Excursion bucolique

Ah quel beau paysage, du haut de ces alpages ! Je contemple le ciel, les torrents, les prairies La nature luxuriante qui emplit tout l'espace, Absorbe mon esprit, mes sens. Quelle euphorie !

Au milieu des corolles, pétales et feuillages, Trouverai-je la fleur qui réjouira mon cœur ? Pas une cardabelle, imposante et hautaine Protégeant sa parure de multiples piquants. Non, pas un pissenlit, si commun, si vulgaire. Peut-être un myosotis, d'un bleu discret et humble ? Ou bien un edelweiss, insaisissable et doux ?

Quand je l'aurai trouvée, cette fleur fantastique, Jamais dans la vallée je ne redescendrai.

ST 1/8/2016

dimanche, 10 juillet 2016

Alors euros ?

A l'instant même, début de la finale de la coupe d'Europe de football, une évidence me saute aux yeux à travers une expression devenu tellement courante qu'on ne fait plus attention à son sens : euro !

Au départ, "euro" fait référence à l'Europe. Plus vraiment le continent européen, mais plutôt ce "machin" imaginé et construit par dessus qui est aujourd'hui ce que l'on appelle l'Union Européenne. "euro-" c'est le suffixe qui désigne tout ce qui a trait à l'UE : eurodéputé, eurosceptique, europhile, eurocrate, eurocentrisme, euro-parlement, etc.

Et puis il y a cette compétition de football citée plus haut que l'on nomme plus communément l'Euro (de foot).

Enfin on a créé en 1999 une monnaie unique que l'on a appelé, de manière particulièrement créative et originale, l'Euro ! avec son sous-multiple : l'eurocent.

Depuis lors, beaucoup, beaucoup de mots intègrent le mot : eurozone, eurobourse, eurobank, Eurocopter... C'est là que vous entrevoyez le problème peut-être. Non ? Ben, quand on utilise euro, de quoi s'agit-il au bout du compte ? Le fait d'avoir nommé la monnaie Euro n'est-il pas le signe d'une volonté de transformer l'Europe en monnaie ? De monétiser les relations entre pays européens ? Et quand je parle de l'Euro, s'agit-il une compétition européenne ou d'une compétition économique ?

L'argent avale tout. Il a avalé l'Europe. Et le jour où les pouvoirs financiers voudront prendre possession de l'ensemble de la planète, que feront-ils ? Il créeront une monnaie mondiale. Et comment appelleront-ils ? Fort probablement le World ! Alors tout sera accompli.

samedi, 9 juillet 2016

Bientôt la fin ?

Je viens de découvrir, avec effroi, que la science fiction noire, apocalyptique de certains films ou romans d'anticipation ne fait que s'ancrer un peu plus chaque jour dans la réalité : changement climatique, migrations de masse, inégalités croissantes, nouvel esclavage, artificialisation du monde et de l'humanité, transhumanisme, OGM, intelligence artificielle... et aujourd'hui robots tueurs ! Robocop et Terminator ne sont pas loin. Mais c'est la triste réalité que j'apprends dans cet article.

Le jour où des machines, programmées pour tuer et capables de se défendre, seront mises en service, l'humanité disposera d'un nouveau type de nuisible, dont évidemment, n'importe qui pourra profiter pour opprimer ses semblables.

Affligeant...

dimanche, 1 février 2015

Un nouveau concept

Nos élus sont formidables ! Mais certains le sont plus que d'autres.
Cette semaine, c'est M. François C., maire d'une riante bourgade côtière, qui vient de se révéler. Jusqu'ici, il se contentait de diriger sa commune de manière traditionnelle, s'ingéniant à décider de tout pour le bien de ses administrés qui se laissent porter au gré de ses envies, de ses desiderata. Bien sûr, quelques amis du maire peuvent le conseiller afin que celui-ci prenne des décisions bienveillantes envers eux, mais le plus généralement, c'est lui seul qui décide de tout.

Récemment élu sénateur, M. C. ayant peut-être trouvé la tâche trop lourde, ou se sentant trop seul, perdu dans un hémicycle où il ne tenait plus la vedette, a fait appel à son ingéniosité. Il a donc lancé un grand jeu-concours intitulé "Aux amendements, citoyens !". L'idée est de donner aux citoyens - qui en France n'ont jamais droit au chapitre puisque la démocratie y est seulement représentative, autrement dit, seuls les élus décident - la possibilité de soumettre un amendement à un projet de loi. Les auteurs des cinq meilleurs amendements verront leur amendement présenté devant l'hémicycle sénatorial et seront invités à une réunion de travail au Sénat ! Cétépatan, n'est-ce pas ?

Dans la générosité de sa proposition, ne pourrait-on déceler une astuce de notre sénateur pour éviter d'avoir à lui-même se creuser les méninges pour produire de tels amendements ? Comment des citoyens, qui n'ont pour la plupart aucune idée de la manière dont s'écrit la loi, pourront-ils relever ce défi avec pertinence ? L'autre astuce ne consisterait-elle pas à rassembler un grand nombre d'amendements destinés à engorger les procédures et les débats concernant ce projet de loi ? Mystère. Mais au moins, M. C. aura inventé un nouveau concept : la démagocratie !

vendredi, 5 décembre 2014

Du tissu dont on fait les camisoles

Je viens d'écouter l'interview de Susan George sur France Inter à propos des "usurpateurs" et ça fait plutôt froid dans le dos. Le pire, c'est que je suis déjà conscient du problème. Mais quand quelqu'un remet comme ça les points sur les i, je me sens vraiment impuissant et je comprends pourquoi même les élus et les gouvernements peuvent légitimement se sentir impuissants. Peut être que la raison pour laquelle le monde tourne maintenant autour des multinationales vient du fait qu'il est plus facile de s'unir autour d'un unique objectif clair et quantifiable (faire du pognon) plutôt qu'autour d'un objectif flou, subjectif, mal défini (vivre heureux). Il est clair que la recherche du pognon motive mieux les individus que la quête du bonheur. Est-ce que cette quête paraît inaccessible ? perdue d'avance ? Le problème, c'est que si c'est le cas, c'est essentiellement à cause de l'existence... du pognon ! "Nul ne peut servir deux maitres; car, ou il haira l'un et aimera l'autre, ou il s'attachera à l'un et méprisera l'autre" (Mt 6:24) C'est le Bonheur ou c'est l'argent. Pas les deux.

Aujourd'hui, les usurpateurs et leurs vassaux (ceux qui ont été désignés par le peuple) concoctent un traité nommé TAFTA qui n'a rien d'un tissu raffiné, noble et soyeux comme son acronyme pourrait le laisser croire. Non, c'est en fait une toile grossière dont on tisse les camisoles, un carcan aux mailles métalliques, froides, rugueuses, mortelles que les usurpateurs vont passer autour du cou des États. Ces États qui se meurent déjà progressivement des méfaits de ces usurpateurs : détournement d'argent, guerres, corruptions, taxes, dettes, austérité, produits toxiques...

mardi, 24 juin 2014

Ces chameaux qui ne bossent pas

Écoutons ce que les politiques de tous bords (et probablement de nombreux pays) disent depuis trente ans : "nous allons lutter contre le chômage". En effet, le chômage est considéré comme une plaie pour l'économie, une tare pour ceux qui y sont réduits, un puits sans fond pour le budget de l’État etc. Le chômage c'est pas bien et il faut donc, naturellement, lutter contre. Cette approche s'appuie sur différents postulats tels que : pour vivre il faut des ressources économiques et pour avoir des ressources économiques il faut, en général, travailler pour "gagner sa croûte" et "faire bouillir la marmite". Évidemment, la question du chômage ne concerne pas les rentiers pour lesquels la problématique de la ressource économique ne se pose pas. Le truc, c'est que pour travailler, il faut avoir un emploi et que bizarrement, il n'y a pas d'emploi pour tous ceux qui souhaiteraient en avoir. C'est ballot !

Cela n'a pas toujours été comme ça. Durant l'après-guerre, une période de trente ans est considérée comme une période de "plein emploi", c'est-à-dire où les chômeurs se comptaient sur les doigts de la main. Ce sont les Trente Glorieuses. A l'époque, il fallait reconstruire le pays et il y avait donc "de quoi faire". Depuis, ce qui a été fait et fait, et puis on a modernisé les industries, l'agriculture, les services et finalement, ceux qui travaillent sont beaucoup plus productifs, par tête de pipe, que par le passé. Il y a donc moins de besoin et une meilleure productivité, donc forcément, on a besoin de moins de "bras" pour satisfaire les besoins, d'où le manque d'emploi.
Pour lutter contre ce problème, il n'y a pas trente-six solutions (selon les milieux autorisés) : d'une part, baisser le coût de la main d’œuvre, ce qui permet de produire moins cher et de vendre plus, et d'autre part, accroître les besoins, a grand renfort de publicité, d'effet de mode, etc. On a développé le concept du jetable, réduire la durée de vie des objets manufacturés, favorisé le gaspillage alimentaire. En contre-partie, on a généré des quantités de déchets qui doivent être traités, ce qui crée des emplois ! Quel bonheur !
Et pourtant, il y a toujours plus de chômeurs. Faudra-t-il toujours plus gaspiller, jeter, détruire pour avec une bonne raison de produire de par ailleurs ? Il est clair que ces solutions, avancée depuis plusieurs dizaines d'années ont fait long feu. En réalité, il n'y a pas d'autre moyen acceptable de réduire le chômage qu'en réduisant la productivité des travailleurs et en partageant le temps de travail. Les travailleurs pourraient imaginer être intermittents du chômage, ou avoir encore plus de temps libre (temps partiel). En fait, ça se fait déjà beaucoup et de plus en plus (on parle de travail précaire), mais cette situation subie est anxiogène ce qui fait que peu de personnes la recherche. Et puis travailler moins, c'est aussi gagner moins alors bon... ce n'est pas très motivant. Alors quelle solution ?
On le voit bien, le problème est celui de la ressource économique. Il suffirait de supprimer cette contrainte ou de la réduire pour que l'on accepte de devenir des chômeurs heureux, disponibles pour s'engager dans des activités bénévoles souvent plus enrichissantes humainement que son emploi. D'ailleurs les chômeurs heureux existent déjà : on les appelles des retraités ! On va me dire : mais si on peut être un chômeur heureux, qui va accepter de travailler ? Et surtout qui va ramasser mes poubelles, faire le ménage chez moi, se coltiner toutes les corvées ? Forcément, les métiers à faible reconnaissance seront un peu délaissés, mais qu'importe : on aura le temps de faire le ménage, les courses, de cuisiner soi-même puisqu'on travaillera tous peu. La belle vie quoi !

dimanche, 30 mars 2014

La démo-quoi ?

En France, la gouvernance, à tous les niveaux de la société, est appelée "démocratie représentative". Cela signifie que les citoyens, par l'intermédiaire d'élections, désignent certains citoyens pour les représenter, c'est-à-dire leur confier le soin de décider pour eux-même ce qui est bon pour eux, pour leur ville, leur département, leur région, leur pays.

Représenter. Une représentation. C'est bien la réalité de cette "démocratie" : Le peuple est dans la salle, les élus sont sur la scène. Les élus jouent, déclament leur texte, se trémoussent, se disputent, se réconcilient. Ils tempêtent, les petites phrases jaillissent allègrement et le public s'en délecte. Car même si la pièce ne leur convient pas, ils sont nombreux à rester là, à contempler le spectacle, les yeux et les oreilles grands ouverts. Parfois le public réagit, tape des pieds et remue : Bouuuu ! Bouuu ! Quelques tomates fusent, des pancartes sont brandies : il manifeste son mécontentement. De temps à autre, les acteurs se tournent vers la salle et demandent au public de choisir les acteurs qui poursuivront la suite de la représentation. Les plus âgés redescendent de leur estrade pour s'asseoir au premier rang. Quelques spectateurs jouent des coudes pour prendre leur place. C'est que, un grand acteur, ça gagne pas mal. Ceux qui sont considérés comme de mauvais acteurs ne sont pas réélus et se rasseyent aussi. Lorsque la fébrilité due aux élections est passée, le spectacle (qui ne s'est pas arrêté) reprend de plus belle et une bonne partie des spectateurs applaudit.

Ce théâtre-réalité de tous les jours n'est-il pas notre lot quotidien ? Bien sûr, on s'étonne que peu à peu la salle se vide, car certains spectateurs sont lassés. Ils comprennent que changer les acteurs sans changer les metteurs en scène ne mène pas à grand chose sachant que la plupart des candidats sont issus des mêmes écoles de théâtre. D'autres spectateurs votent pour des acteurs rageusement provocateurs qui n'hésitent pas à dénoncer la vacuité de la mascarade tout en y participant activement, ce qui bien sûr est vain.

Je fais donc une grande proposition : changeons le nom du spectacle, qu'il soit plus explicite. Au choix :

Démocomédie Démopoilade Démorripilation Démoléthargie Démosomnolence Démotragédie Démopopcorn...

vendredi, 24 janvier 2014

L'engagement politique

Il m'arrive de rencontrer des personnes qui sont engagées dans une cause politique, souvent dans une lutte sociale, bref des personnes que l'on pourrait qualifier de gauchistes voire d'extrémistes. Il me semble que quand on est extrémiste dans un sens, on est opposé aux extrémistes de l'autre côté de l'échiquier politique. Et c'est bien sûr le cas. Enfin... théoriquement. Pour ce qui est de la pratique, je suis parfois stupéfait.

Il y a quelques temps, untel se disant anti-fasciste, dont le comportement montrait qu'il vivait dans la compétition, cherchait à imposer son point de vue, prenait des décisions unilatéralement alors qu'elles engageaient tout un groupe, jugeait les autres superficiellement et en profitait pour user publiquement de délation et de diffamation. Le cas typique du petit chef, qui méprise a priori tous les autres, et qui cherche à les écraser. C'est quoi déjà un fasciste ? Ne serait-ce pas quelqu'un qui se sent supérieur aux autres et cherche à leur imposer son diktat ?

Il y a peu de temps, celle-ci, se disant anarchiste, c'est-à-dire refusant le pouvoir des autres sur sa vie, qui se disait prête à brûler des églises pour régler une crise politique, économique et sociale. Hum... Cette idée violente ne s'apparenterait-elle pas à une impuissance de s'attaquer aux vraies causes du problème ? Ne serait-ce pas la simple recherche d'un bouc émissaire providentiel ? Il est vrai que s'attaquer à un lieu de culte est pratiqué depuis très longtemps sous de très nombreux prétextes, mais force est de constater que le nombre de croyants ne baisse pas par les persécutions. Pire : cela ne règle en rien les crises économiques, politiques et sociales. Cela ne fait que soulager les violents et libérer cette violence qui peut en devenir contagieuse. Bref, c'est foncièrement mauvais.

Quel bonheur ce serait si ceux qui s'engageaient en politique apprenaient à aimer plutôt qu'à haïr. Quel bonheur se seraient s'ils analysaient un peu leurs paroles et leur comportement pour s'apercevoir du fait qu'ils emploient les mêmes méthodes qu'ils combattent ? Peut-être finiraient-ils par devenir crédibles...

samedi, 7 décembre 2013

Justificatif du père Ubu

Pour certaines démarches administratives, il faut présenter un "justificatif de domicile". Qu'est-ce qu'un "justificatif de domicile" ? Dans quel cas est-il valable ? Ces deux questions constituent des mystères insondables propres à l'administration française.

D'abord, il n'existe pas de définition, ni de liste officielle des documents qui peuvent valablement justifier du domicile.
Ensuite, cette liste dépend de la démarche entamée.
Elle dépend parfois aussi du lieu concerné : d'une mairie à l'autre, un document sera accepté ou non !
Et puis, certains justificatifs en béton ne sont pas valables, alors que d'autres beaucoup moins sûrs le sont. Et là c'est goutte d'eau qui fait déborder l'océan. Par exemple, un bail locatif pour une habitation principale, qui est à l'origine même du fait que l'on habite bien à une certaine adresse, ne sera pas un justificatif valable ! Par contre, une quittance de loyer de ce même bail locatif est valable. Va comprendre, Charles !
Une facture d'électricité ou de téléphone fixe sont considérées comme des justificatifs de domicile valable, ce qui se comprend car ils sont effectivement associés à un logement. Mais qui dit qu'il s'agit bien d'une résidence principale ? Une résidence secondaire n'a-t-elle donc pas de facture d'électricité ?

Le summum, c'est la facture de téléphone mobile. Elle n'est associée à aucun lieu fixe puisque, par définition, la ligne téléphonique est mobile. Mais c'est un justificatif de domicile valable. On pourrait en déduire que toute facture adressée à une adresse suffit à justifier l'élection de domicile. Dans ce cas, pour quelle raison une carte postale, un relevé bancaire, une amende, un reçu fiscal, un contrat de réexpédition du courrier ne seraient-ils pas eux aussi des justificatifs de domicile valables ? Mystère... L'administration vit décidément au pays du père Ubu....

mardi, 3 décembre 2013

Discrédit totale !

La science se construit, de manière "officielle", à travers la reconnaissance internationale des découvertes et avancées réalisées par les chercheurs de tous les pays. En pratique, ce sont les revues scientifiques dites "à comité de lecture" qui assurent cette reconnaissance. Comment ? Les articles qui sont soumis sont lus par plusieurs chercheurs, spécialistes du domaine concerné, qui assurent une relecture critique. Ils posent des questions, demandent des compléments, des corrections, pour finalement décider de la publication, ou pas, de l'article. Quand l'article paraît, c'est qu'il a été soumis parfois plus d'un an auparavant à la revue et qu'il a été mûrement élaboré et critiqué en amont.

Certaines revues font pourtant n'importe quoi.

  • Il y a celles qui laissent la relecture à un unique relecteur : il a de fait tout pouvoir pour décider, honnêtement ou non, de la publication ou pas de l'article. Pourtant, croiser les points de vue semble indispensable pour juger de la qualité d'un travail de recherche.
  • Il y a celles qui ne sont pas regardantes et publient à peu près tout ce qui leur arrive, du fait que leur survie est dépendante de la quantité d'articles publiés. Au bout, on se retrouve avec des articles "plagiatifiques" où parfois 90% du contenu est emprunté à d'autres... voir ici par exemple
  • Il y a celles qui se discréditent, par exemple, en retirant, au bout d'un an, un article publié et reconnu comme étant de qualité. voir le cas du fameux article du Pr. Seralini


Que faudra-t-il pour redonner à la Science ses lettres de noblesse et sa probité ? Du temps ? du respect ? de l'honnêteté ? un peu toutes ces choses qui ont disparu dans notre civilisation occidentale. Mais c'est aux chercheurs de se prendre en main, car personne ne le fera à leur place. Malheureusement, les citoyens leur font entièrement confiance pour mener leurs recherchent comme ils l'endentent...

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